lundi 28 avril 2008

oui


Il s'appelait André. Après quatre rencontres, plus de retour de sa part. Je suis nue devant lui comme devant personne jamais. Sa bouche est refermée sur mon sexe, chaude, douce, ardente. Il pousse des petits cris tout en. Je caresse sa figure, son crâne. Nous demeurons un long moment ainsi. Quand j'y repense, je n'ai qu'un regret, mais de taille : qu'il ne m'ait pas prise en levrette la première fois que je suis venue à lui Je me rappelerai toujours le poids de ses c. entre mes. Son renoncement alors.
Les fois suivantes, je m'étais lavée selon ses instructions, j'avais acheté ci et ça utiles à sa. Mais non, finalement, il me finissait à la main. Une main vigoureuse à laquelle je cédais, heureuse de céder.

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