vendredi 4 avril 2008

Il

Lumière profuse dehors. Les fenêtres ouvertes, valse lente des rideaux. Dans la chambre, je l'observe assis dans l'un des deux fauteuils non loin du lit. Il est nu et m'appelle doucement, salement. Guêpière rose, string rose, bas blancs, je prends l'un de ses pieds et l'embrasse, ainsi qu'il réclame Doigts et langue se succèdent d'un orteil l'autre, dégoût contenu, excitation du tableau tel qu'il le filme. J'entends le ronronnement du caméscope au-dessus de moi.
Ensuite, agenouillée toujours il me faut le prendre dans ma bouche.